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Je suis “transit” jusqu’au zoo, et ensuite c’est la première à gauche

Monday, July 16th, 2007

et alors là tu te dis que ça fait un moment que tu n’as plus rien posté, que ça va finir par se voir, que tu vas finir par recevoir des tas de mails éplorés ou alors pas du tout, parce que tu sais comment ils sont, les gens, de nos jours, si y en a pas avant lundi, ils changent de crêperie, c’est comme ça, on vit dans une société individualiste, c’est le règne du chacun pour soi, du tout à l’égout et des couleurs lavables séparément à 60 degrés.

Ou alors à angle droit.

Pourtant, tu as un jeux de mots à placer, il est pas mal et en plus. Les termes de recherche spécifiés ne correspondent à aucun document, alors on pourra pas te dire qu’il est éculé, ni qu’il est écru, mais y a pas, tu sais pas comment l’enrober dans une couche de trucs et de machins qui font que les gens se disent mais où va-t-il chercher tout ça, et c’est à ce moment-là qu’un type facétieux leur répond, c’est la magie du web, l’interaction au service de l’humour le plus raffiné depuis Jean-Roger Chompard, surtout que franchement, sa réponse était pour le moins inattendue et même un rien primesautière. Alors tu brouillones un début de post, la mort dans Nâdiyâh (parce que Lââm, plus personne sait qui c’est, mon pauvre), et il part rejoindre tes 123 brouillons dont un qui est vachement mieux que l’autre, surtout la gauche.

T’en arrives au point où tu te dis, tiens, on m’avait refilé un questionnaire, je pourrais y répondre, fallait citer les quatre fromages que je préfère ou alors je sais plus, mais fallait citer des trucs quatre par quatre, si ça se trouve c’est une publicité déguisée pour les Hummer, qu’on voit danser le long des Golf GTI. Ou alors lancer un concours de chatons, mais va savoir, les gens pourraient prendre ça au premier degré et ce serait la fin du monde.

Ou tu pourrais raconter la fin de Harry Potter, mais tu vois ce serait trop une blague, tu dirais que à la fin il devient attaquant au PSG ou chauve ou les deux et tiens, ce serait hilarant, mais bon si ça se trouve y a déjà 112 personnes qui l’ont fait d’ailleurs tiens, c’est une idée à noter, ça fera un 128e brouillon et en attendant, à la limite, tu pourrais faire un making of de post avorté, mais alors oublie pas d’y glisser une blague sur les wapitis sinon quel intérêt, je te le demande, quel intérêt?

à brûle pourpoint

Wednesday, February 21st, 2007

Parfois, dans la vie, tu manques sauvagement d’inspiration. Si tu es comptable, personne n’en saura jamais rien, sauf éventuellement Gwenna, ta cinquième épouse, au moment où, l’oeil luisant de concupiscence, tu lui proposeras des spagghettis à l’arrabiata, il faut mettre du piment, dans un couple et qu’elle te rétorquera que c’est la 118e fois que tu lui fais la blague cette semaine et en plus je regarde Top Models, alors est-ce que tu pourrais aller sortir les poubelles et le chien, merci, mais cette fois ne te trompe pas, parce que la dernière fois, les poubelles sont venues dormir sur le lit après, franchement, c’est d’un négligé, c’est pas moi qui leur ai appris des comportements aussi délétères. Par contre, il est d’autres situations où cela risque de se voir, notamment, et c’est de cela que nous allons parler, jeune lecteur au regard si fou, si tu entretiens un blog.

Car, vois-tu, je ne vais pas te le cacher plus longtemps, j’ai une petite baisse d’inspiration. La grippe, la pression sociale, les 35 heures, le départ en campagne raté de Ségolène Royal (j’ai entendu ça à la télé et c’est vrai que pour aller à la campagne, si on rate son départ, après on attend parfois sa correspondance un peu longtemps, c’est embêtant)(mais je sais pas pourquoi on nous parle autant de ça)(si ça se trouve, il y a bientôt une élection quelconque en France et ils ont décidé de porter le débat sur la thématique des transports en commun à la campagne), que sais-je encore? Quoi qu’il en soit, je ne sais de quoi parler.

Alors, bien sûr, il existe des solutions de facilité sur les blogs. Je pourrais te parler de cette malheureuse Britney Spears qui peut pas se promener sans cheveux tranquille sans que tout le monde se demande ce qui lui arrive, alors que quand Zinedine Zidane s’est rasé le crâne, personne a moufté, et tu as vu où ça nous a mené? et signaler au passage que la facétieuse interprète de Oops i did it again a récemment viré sa Culotta.

Quand on sait pas quoi dire, le plus simple c’est le questionnaire. Ca tombe bien, on m’a passé deux fois et demi les 5 machins que vous savez pas, je l’ai déjà fait une fois là-bas mais je pourrais le faire ici de manière originale et décalée, je dirais personne ne sait que en fait, si je me moque tant des poneys dans mes posts, c’est juste pour me venger de Yuki, un sale fourbe, vicieux, au regard mauvais, qui préférait s’adonner à sa passion malsaine pour l’herbe plutôt que de me laisser rester sur son dos où j’avais même pas vraiment demandé à monter, là je ferais un jeu de mots désopilant genre on n’a vraiment pas fait la bombe ou vraiment il m’a mis le pied à l’étrier, ce serait glacé et sophisitiqué, que si je me moque tant d’Indochine dans mes posts, c’est juste parce que je ne suis pas sourd, et alors j’ajouterais ahlala mais que puis-je vous dire d’autre encore par exemple vous ignoriez que ah en fait non bon ben tant pis.

Ou alors je pourrais faire comment tout le monde et te parler de Second Life, ce nouveau monde passionnant où tu peux t’inventer un prénom, parler à des gens, acheter des objets et dépenser de l’argent, ce jeu moderne et novateur.

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Parce que ça a l’air super, Second Life. On peut même acheter des trucs. Et parler à des gens. Même les Sims avaient pas poussé la folie aussi loin.

Ou alors je pourrais, comme sur les blogs sérieux, faire mon coming-out politique. Je suis sûr que ça changerait ta vie, ou au moins celle de Léandre, ton chinchilla nain du Laos, de savoir que bon, je vais probablement voter oui et faut voir. Oui parce que je pense que c’est une bonne chose et faut voir parce que je suis pas encore sûr, j’ai pas encore vraiment réfléchi à la question. Mais je dirais plutôt oui. Ou alors non. Est-ce que je peux prendre un 50/50? Mais en tous cas, pour le premier, la caisse unique, c’est sûr, c’est oui. Moi je vois, pour mon chat, j’ai une seule caisse, c’est nettement plus pratique.

Finalement, je crois que je ne vais rien poster.

Attention, ce billet ne parle pas de brumisateur

Friday, August 5th, 2005

Mon inspiration étant partie en vacances à Lloret del Mar (elle aime beaucoup les touristes allemands qui mangent de la choucroute en chaussettes), une connerie cent-douze fois repoussée parce que justement, c’est une connerie

Le corbeau, le renard et le rideau, une fable de Roger Bataille et Jeandela Fontaine.

Maître Bertrand Renard, ayant chanté tout l’été dans des émissions de karaoké, pour faire une petite pause, parce que bon, à force, les définitions et les calculs savants ça devient lassant, se trouva fort dépourvu quand il reçut une lettre d’un corbeau, qui lui disait: “Bonjour, je crois que votre femme vous ment, le soir, elle ne va pas au répétitions de la chorale, en fait elle joue du bugle dans un groupe de ska-punk signé un voisin anonyme (mais pas Raymond qui est un connard)”, le tout réalisé en lettres découpées dans des journaux, mais j’ai pas la police adéquate car comme on dit dans les milieux autorisés, fuck the police.

Il décida alors de se plaindre à Julien Courbet, mais celui était parti en stage de golf dans les Charentes-Maritimes. Il se mit alors à errer comme une âme en peine sur le bord de la route. C’est là que Roger Bataille, qui passait par là, le retrouva et lui tint à peu près ce langage: “Hola, mon brave, qu’avez-vous à aérer comme une lame en peigne sur le bord de la route, là, c’est dangereux, c’est des combines à manquer la rediffusion du tirage du loto avec Sophie Favier.” Maître Renard lui expliqua la cause de son courroux car il aimait la Guyane. Roger Bataille lui répondit que “ah bon”, non sans lui offrir un biscuit au chocolat, mais il était trop vert et bon pour des goujats.

Moralité: Les corbeaux, c’est des cons.

hareng saur

Thursday, July 21st, 2005

C’était par une belle journée estivale d’un été tranquille et fort moyennement caniculaire. J’étais seul, assis sur un banc, en train de refléchir à un post dont j’avais le début du milieu, mais ni la fin. J’avais même pensé à un jeu de mots vachement bien que Laurent Ruquier n’avait jamais fait, sauf peut-être un soir où il s’était laissé aller à la boisson pour fêter je ne sais quel événement connu de lui seul.

Je me mis à meubler subrepticement, histoire que le lecteur ne se rendisasse point compte que, en fait, j’étais en train de faire semblant d’être en train de dire des trucs alors qu’en fait. Quand soudain, j’eus la révélation: si je voulais booster mes statistiques, devenir riche, célèbre, que les anciennes de l’école disent que j’suis taré et, surtout, que les nouvelles de l’école lâchent leurs coms comme des oufs, que tf1 m’interviewe dans le cadre du Combien ça coûte spécial bouchoyade, découvrir de nouvelles sensations fraîches comme la brise estivale et pécho vegra des sardines à l’huile de la mer baltique, il fallait que je change mes habitudes de blogoïsation. Grâce à cet article de pointblog, loué soit son nom, je sais désormais que pour devenir une star et signer des autographes lors du prochain congrès des blogueurs unijambistes aquitains, il faut que je rédigisse des textes plus courts, plus simples, plus aérés, plus illustrés.

Alors voilà mon nouveau blog. Lâche tes coms et mets tes baskets.

gogogadgétosphère

Thursday, April 21st, 2005

Quand on blogue, au début, y a une phase d’euphorie. On poste 43 fois par jour, on a des tas de trucs passionnants à raconter. Forcément, ça attire du monde, on se fait des tas de blog-copinots, on est heureux.

Puis un jour survient le drame: on n’a rien à dire. On a passé la journée à classer des factures et la soirée à regarder des émissions ni assez bien ni assez nulles pour être blogables. Et même dans les requêtes google, y a que des trucs affligeants de normalité. Dans ces cas là, on peut se rouler par terre, s’arracher les cheveux, voire même faire une note pour dire qu’on n’a rien à dire.
Mais fort heureusement, il existe d’habiles subterfuges:

Les copier coller de conversations msn

bli

Les tests psychologiques


You are an oyster. You are better with lemon
Which crustacé are you? Brought to you by Couizila

Les participations à de merveilleux concours

Voilà ma contribution au concours de photos de rotules chez Jean-Pierre! Lol!

rotule

J’espère que c’est moi que je vais gagner le premier prix! Ptdr!

Les lançages de merveilleux concours

Le concours de rotules de Jean-Pierre m’a donné une idée. Mdr. Envoyez-moi vos photos de tibias et je désignerai le meilleur d’entre vous, qui gagnera un merveilleux premier prix! Expdr!

Les copier coller de paroles de chansons

Rita, donne moi ton coeur
Rita, donne moi ta main
Rita, donne moi ta soeur
Rita, nous partons demain

Les questionnaires

Combien de pizzas mangez-vous par an
Lollll j’ai pas compté!!! Mais je crois que c’est environ 72

Quelle est la dernière pizza que vous avririez achetée?
Une quatre fromage sans gorgonzola

Quelle est la dernière pizza que vous eussiez mangée?
Une quatre saisons sans le printemps

Quelles sont les cinq pizzas qui ont le plus compté pour vous?
– Une margherita que j’avais mangée avec ma grand-mère la dernière fois que je l’ai vue, juste avant qu’elle devienne jongleuse dans un cirque
– Une jambon-fromage surgelée, une semaine avant d’avoir mon micro-ondes
– Une césar mais en fait c’était une salade
– Une hawaii parceque bon c’est plus simple que d’y aller
– Une del Patrone que on m’a offerte le jour de ma première communion

Lolll c’est dur d’en choisir que 5 franchement y en aurait au moins 6

A qui allez-vous infliger ce questionnaire et pourquoi?
A Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy parce que j’aimerais savoir si ils aiment les pizzas!!! Mdr!!!!!!
et aussi à Jean-Pierre, mon meilleur copain de blogs, il est trop lolant avec ses concours ptdr!!!!!
Mais si vous voulez le faire aussi vous pouvez ptdr!!!!!

et j’entends siffler le train

Wednesday, March 16th, 2005

Un bref coup d’oeil au calendrier ci adjacent suffit à le prouver, l’inspiration vient à me faire des faux. Et comme le disait souvent Lao-Tseu à sa boulangère, quand ça inspire plus, faut savoir changer de sac.

Or, en ces temps de wifitisation du monde, il est une niche économique dans laquelle même LLM n’a pas encore songé à s’engouffrer (d’ailleurs, quand le mec du blog des gadgets s’engouffre dans une niche, ça prouve qu’il a du pif mais je m’égare totalement) : le blog de gare.

Dont acte.

***

Quand Esteban la fixa de son regard ardent, elle sentit ses genoux flageoler. Comment cela se pouvait-il être possible? Elle croyait pourtant tout avoir oublié de cette tumultueuse aventure. Il y a vingt-trois ans, quand Esteban l’avait quittée pour s’en aller rechercher les cités d’or, elle avait senti son coeur battre dans sa poitrine opulente. Et puis, au fur que la mesure passait, elle avait su penser à ses blessures. Elle coulait aujourd’hui des jours heureux avec Tao, le meilleur ami d’Esteban, qui avait su la consoler quand le chagrin lui faisait pleurer des larmes de tristesse mais aussi après, et en plus il était riche.
Et puis, il y eut ce funeste jour où elle le revit, chamarré et flamboyant dans l’obscurité sombre du petit matin. Esteban était toujours aussi beau, beau comme un épagneul breton qui court sur la plage parce qu’il croit que son maître va lui jeter des saucisses de veau. Mais elle savait bien que rien n’avait changé. Esteban était toujours le même garçon un peu fou et un jour, il repartirait, là-bas, dans ce pays où tout est neuf et tout est sauvage.
Mais Tao n’était plus le même, depuis quelques jours. Savait-il? Ou revoyait-il Mendoza, son ancien amant, en cachette? Il lui avait pourtant juré que tout était fini depuis belle luette.
Le coeur de Zia se serrait comme une éponge après la vaisselle vespérale.

Faut racheter des sacs

Friday, October 22nd, 2004

Je voulais poster une note super drôle avec des eaux pilantes partout, mais ces temps, j’ai aucune inspiration. C’est comme ça. Cependant, je sais que si je reste trop longtemps sans poster, vous allez sombrer dans le stupre, la luxure, le poker et les blogs d’adolescentes dépressives.

Il faut donc que je vous propose un petit interlude récréatif. Mais le truc, c’est que ces temps, j’ai aucune inspiration.

Alors bon, je pourrais raconter ma vie, aussi. Ce matin, je me suis acheté un petit pain et le type m’a dit que ça coûtait 1 franc 30. Alors je lui ai donné 2 francs et il m’a rendu la monnaie. Je lui ai souhaité une bonne journée et il m’a rendu la pareille. C’est vraiment un bon rendeur, ce type.

Ouais mais non, je vais pas commencer à raconter des détails si intimes à des gens avec qui je n’ai jamais gardé les cochons, ni même les dindes.

Non parce que c’est vrai, y a plein de gens, ils lisent mon blog, hein, comme ça, sans prévenir, si ça se trouve ils ont mangé des tripes à la mode de Caen, regardé Derrick ou fait du macramé avant et finalement, eux et moi, on se connaît pas, c’est peut-être des tueurs à gage du fbi ou des collectionneurs de palourdes et moi, inconscient, naïf, jovial et volubile, paf, je glisse des détails personnels comme par exemple que je chausse du 45, que je fais bien l’émincé au curry, que j’ai deux disques de Saez, que je chante sous la douche mais pas du Saez, faut pas déconner et que je n’arrive pas à toucher mon nez avec mon omoplate droit. Alors je préfère m’abstenir.

ajoutez ici le titre du billet

Thursday, April 15th, 2004

Quand l’âme est amorphe, ose (de Kafka) te contenter de pneu, me dis-je en substance après trois tentatives de postage morts-nées pour cause de billets sans tête, sans queue (mais c’est pas le genre de la maison, le billard est un sport dangereux) (je connais un type qui a du passer sur le billard pour une ablation de la rotule gauche et qui regarde régulièrement Julien Courbet (pas le peintre précurseur de nioulouke, l’autre)) et surtout sans grand chose entre deux.

Je me contenterai donc de vous conseiller de lire un livre que j’ai lu, car j’ai vu que ça se faisait sur les blogs.

Je vous conseille de lire un livre que j’ai lu.

Ou un autre. Ou le mode d’emploi d’un truc.

Ou de regarder la télé, ou de finir les restes de la blanquette.

Ou alors de tenter la traversée de l’atlantique en pédalo.

Ou bien d’organiser un combat entre un éléphant et un hippopotame, histoire de voir c’est qui le plus fort.

auto-persuasion

Thursday, February 19th, 2004

Votre blog est fatigué, il n’a plus la vigueur de ses trois mois?
Il a la truffe dilatée et les pupilles chaudes?
Il ne vous fait qu’à grand peine une petite note insipide tous les trois jours alors que, au temps de sa prime jeunesse, il était capable de poster douze fois par jour les doigts dans le nez?

Donnez-lui dès à présent par jour le revitalisant du docteur Von Struffenberger.

A base d’essence d’aloa et de pro-béta-carotène B, il redonne à votre blog joie de vivre, vitalité, santé, prospérité, charité, maïté.

De plus, il est efficace en cas de piqûres cutanées, de maux de la troisième lombaire, de dépression post-titre de champion du monde de trampoline, de concert de Kyo, de blessures due à une chute de tractopelle depuis le sixième étage et de livreur de pizza en retard de plus de 112 heures.

(Attention, le revitalisant du docteur von Struffenberger ne convient pas aux blogs de moins de 36 ans. Il est déconseillé de l’utiliser si vous souffrez de maux de genoux, de kleptomanie ou si vous êtes fan de Marc Lavoine. Pas d’utilisation prolongée sans avis médical, sauf si vous êtes premier clavecin alto dans un groupe de punk)

Le revitalisant du docteur Von Struffenberger existe désormais aussi en spray et en suppositoires. Arômes: citron, fraise, jambon-fromage et jojoba.

Si vous le commandez immédiatement, nous vous offrons également un pin’s parlant tf1.

et avec ça?

Tuesday, September 9th, 2003

C’est con ce matin, j’avais trouvé un truc désopilant à écrire, mais j’avais pas de pc sous la main. Même pas de mac. Sous ma main, j’avais de la peau de paume et puis du vide aussi. Et une poche. Avec des clés un briquet et un paquet de clopes au fond de la poche.


Et ma main s’est déplacée, le truc aussi, disparu. C’est dommage, pourtant, c’était désopilant, presque autant que la blague de la blonde qui voit une peau de banane.


Alors à la place, je vais faire une liste de trucs.


– une tronçonneuse


– du savon bio parfumé aux herbes de Provence


– un castor junior


– la page 12 de l’annuaire Jura / Neuchâtel / JuRa SuD


– Che Guevara


– la capitale du Guatemala


– courir dans les bois


– 1515, Marignan


–  un truc


– ça me fait peur


– Casper, le fantôme


– une poutine et du chocolat


– un private-joke


– un raton-laveur


 


Voilà, sinon vous allez bien? Vous êtes plutôt pour ou plutôt contre? Et vous pensez y aller ou pas?