WebSitze hackedt von Hans Schaudi
LUMPI FOR PREZIDENT!
Aujourd’hui, une note de fraicheur surréaliste pour la girafe en kaki.
comme je sais que la bouffe de ze army ça doit pas être génial, voilà le repas que je te prépare pour ton retour de ce weekend: des röstis à la bâloise:
il te faut
– 1 kilo de patates,
– du sel,
– 3 c. à s. de beurre,
– 50 g de lardons coupés en dés,
– quelques oignons,
– couper plusieurs oignons en fines rondelles;
– peler les pommes de terre bouillies; les râper avec une râpe à rösti, c’est-à-dire munie de gros trous;
– saupoudrer de sel mais légèrement parce que le lard en contient déjà;
– dans une poêle, faire fondre le beurre;
– ajouter les pommes de terre, les oignons et les lardons;
– faire sauter le tout en remuant de temps en temps avec une spatule pendant 5 minutes;
– rassembler les pommes de terre et aplatir pour former une galette;
– couvrir avec le plat de service tourné à l’envers et laisser cuire pendant 20 minutes;
– retourner la poêle sur un plat de service et servir avec du café au lait.
E Guete! :)
Alors oui il faut le dire une fleur qui porte un manteau de fourrure, c’est un tantinet ridicule.
Des fois, quand on est dans un blog qui n’est pas le sien et qu’on cherche un crayon de couleur pour écrire le titre en rose (c’est un exemple hein) on fait des sacrées trouvailles !
Ce soir, j’ai retrouvé ici, bien planquée (perdue ?) au fond d’un tiroir, cette charmante photo, portant au verso la date du 26 octobre 1985 et la mention “Flippy et sa cousine Gretel au cours de cuisine de Mme Waltman”.
Grace à ça, on a désormais la preuve que si Flipflap se nourrit quasi exclusivement de pizzas aujourd’hui, ça n’est pas (seulement) parce qu’il se prend pour une Tortue Ninja, c’est surtout parce qu’autrefois il passait son temps à sniffer les flacons de fleur d’oranger avec sa cousine au lieu de suivre les explications.
(c’est tout en anglois stylisé avec incrustation d’icones même pas chatoyants à l’intérieur de ce blog ! sans vouloir dénoncer hein ! Et on me parle d’une certaine Edit qui apparement s’occupe des entrées… ce doit être la concierge…)
J’ai décidé de ne plus jouer en équipe de France
Bien que plus nombreuses dans “l’Amicale des Tuningistes Chasseurs Hédonistes fans d’Obispo, d’Ufologie et de Mangoustes” que dans mon frigo, les taches peuvent prendre n’importe quelle forme et surgir n’importe où.
Et c’est là que le b.-a. ba blesse. Il n’est jamais aisé de se débarasser d’une tache, celles-ci ont souvent tendance à s’incruster. C’est une tâche ardue. Il existe cependant d’habiles subterfuges plus ou moins faciles à appliquer.
Dans les transports publics, par exemple, la tache vient s’asseoir à côté de vous et vous parle de son opération à la rate, de sa passion pour les dynamos, de ses petits-enfants ou, plus communément, de ces salauds d’étrangers qui font rien qu’à jouer du yukulélé au lieu de travailler. Le seul moyen de s’en débarasser est de descendre à la prochaine (si la tache répond “ça tombe bien moi aussi”, improviser). L’inconvénient, c’est qu’on se retrouve parfois seul, abandonné, sur le quai d’une sombre et morne gare de banlieue.
La tache peut aussi prendre la forme d’un nouveau voisin qui insiste pour vous inviter à sa soirée diapos. Dans ce cas là, s’en débarasser devient de plus en moins simple, ce d’autant plus que si vous optez pour la solution directe, “rien à battre de ton invitation j’aime pas ta gueule de con”, la tache risque de s’en offusquer. Inventer régulièrement de nouvelles excuses pour refuser est un exercice qui stimule l’imagination et vous fera un sujet de conversation pour quand vous inviterez vos autres voisins, ceux qui sont gentils et tellement polis, pour une fois que ceux-ci n’ont rien d’autre de prévu.
Dans la plupart des cas, la solution de l’évitement est la plus simple. Parfois, hélas, c’est impossible: par exemple, quand on participe à des télés-réalités. Ou, au hasard, pendant les cours de répétition de l’armée suisse. Ou encore quand on est en train de dériver avec onze autre plongeurs, qu’on attend les secours et que quelqu’un se met à raconter des blagues.
Dans ces cas là, la meilleure solution reste de dire en alternance, toutes les 2 à 3 minutes “aha”, “non? incroyable” et “percolateur”, en pensant à autre chose et en attendant que ça se passe.
En ce vendredi 13,
jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques,
j’aimerais adresser une pensée émue à tous ces pauvres commentateurs sportifs obligés de meubler pendant trois heures alors que passent les athlètes du Kiribati et du Belize.