Posts Tagged ‘Uuh Gruhr’

Où Paul y tique

Friday, May 4th, 2007

N’ayant pas eu l’idée de créer un ministère de l’identité nationale et des petits lapins, les premiers hommes avaient une organisation politique plutôt aléatoire. Chaque caverne avait son chef, qui disait quand fallait aller chasser le mammouth et quand on pouvait rester peinard à regarder la télévision. Ca se passait plutôt bien, sauf le dimanche, jour des mariages, quand l’alcool coulait à flots, à cause de la promise cuitée.

Seulement, parfois, il fallait renouveler le chef, l’ancien étant hors d’usage suite à une rencontre inopinée avec un mammouth, ou alors parce qu’il était mort de décès.

A l’époque, il n’y avait pas de problèmes de chômage, très peu de politique extérieure et l’insécurité était étroitement liée à la croissance économique, vu que les problèmes principaux pouvaient, en général, se manger une fois éliminés et, du coup, tout le monde était plus ou moins d’accord sur la ligne politique à adopter pour la prochaine législature: chasser des mammouths.

(Pour votre santé, évitez les aliments gras, mangez au moins 5 fruits et légumes par jour et veillez à ce que le tigre à dents de sabre soit vraiment complètement mort avant de commencer à le dépecer)

Seulement, tu sais ce que c’est, y a toujours des gens qui sont persuadés qu’ils feraient un meilleur chef que les autres. Dans la plupart des cas, on se disait que tant qu’ils font ça, ils font pas de bêtises et on les laissait cheffer avant de recevoir un coup de massue mal placé. Mais, parfois, il y avait deux petits nerveux arrivistes qui avaient pas eu tellement de copains dans leur enfance dans la même caverne. Du coup, pour éviter que cela ne parte en bagarre générale avec partisan de l’un et de l’autre pendant des plombes, il fallait trouver une solution sobre et efficace: le débat polytique (ainsi nommé parce que comme y avait infusion de sang, les insectes nuisibles et parasites pouvaient faire bombance).

Les deux candidats de la majorité se tenaient face à face, gourdin à la main, et se mettaient sur la gueule pendant des heures. Puis l’un comme l’autre allait expliquer à tout le monde pourquoi c’est lui qui avait gagné. Pendant ce temps là, profitant de la confusion générale, le candidat du parti Chasse, poteries et tradition profitait de la confusion générale pour les bannir les deux, se déclarer chef et organiser une grande chasse au mammouth.Aujourd’hui, la tradition est un peu restée, mais avec en plus civilisé, gâce à la civilisation, comme le montre cette vidéo


Vidéo et débat
envoyé par flippy

il dit qu’il a plus de genoux

Tuesday, February 6th, 2007

Pendant la Préhistoire, on passait pas mal de temps assis en tailleur devant un feu de bois, le cul sur la pierre. Autant te dire que, comme le ukulélé avait pas encore été inventé, le contage était une activité importante.

Parmi les histoires populaires, il y avait celle de UhhGrruhr et de Uhgruuhrkaia, deux jeunes gens des cavernes qui s’aimaient d’un amour beau comme une sagaie dans l’omoplate d’un mammouth au petit matin, mais leur amour était impossible, elle vit dans la grotte d’à côté et ils s’entendent pas trop depuis une sombre histoire de mammouth poursuivi alors qu’il avait manifestement pénétré dans le territoire voisin, on voit bien que l’arbitre était suédois!, et donc leur amour est impossible et à un moment elle lui dit UhhGrruhr, UhhGruhr, pourquoi es-tu UhhGrruhr et il lui répond ahah non mais pas du tout, je suis HuGrrrrrrruhr, son cousin, alors ils se marient et ont beaucoup d’enfants.
Alors forcément, on se racontait ça, on modifiait un deux passages, parce que on avait pas le respect de l’oeuvre, tu vois?, on enlevait un bout, ce qui fait qu’au bout d’un moment, l’histoire devenait celle d’un chasseur de mammouth conplètement obsédé par Pigloo, le mammouth blanc géant.

Puis, un jour, le jeune UhhhGruhuhur le malicieux inventa un système basé sur l’utilisation de genre de signes et alors chaque signe ça voudrait dire un son, par exemple on dirait que § ce serait uhg et ¬ gruhr, ce à quoi son chef HuhHgrur le clairvoyant mais un peu grossier sur les bords quand même lui répondit “non mais t’es complètement con ou quoi? c’est complètement con ton truc”.

Il fallut attendre plusieurs siècles pour que l’invention de l’écriture, en Mésopotamie, bouleverse la société et le marché de l’édition. (C’est à peu près à la même époque qu’en Anatolie mineure, un type marcha malencontreusement sur un oursin qui passait par là et hasard, ce qui n’a rien à voir avec cette histoire (ce fut l’invention des cris turcs))

Au début, on se servit de l’écriture plus pour les comptes que pour les contes. Mais il ne fallut pas attendre longtemps pour que l’humain, toujours inventif, décide de mettre cette nouvelle technologie au service de son imagination débordante.


La blague du fou qui repeint son plafond, en mésopopotamien (à l’époque, ils montaient sur des sapins de Noël, les échelles n’étaient pas solides)

Malheureusement, il est toujours des esprits obtus pour entraver la marche de la créativité, et l’auteur de la première oeuvre fictionnelle se vit répondre “ah mais c’est pas de la littérature, ça!” par son chef, Jean-Uhgrur le un peu chauve.

Il faut dire que ce n’était pas de la littérature, mais une liste de courses.

Bonne fête à toutes les Barbe

Monday, December 4th, 2006

Le jeune Badibuh m’a chargé de vous expliquer l’invention de la politique, ainsi que celle des sondages.

Bon alors la politique (de polis, la ville (exemple: Philippe Lavil, c’est pas le mec qui chantait Roxane?) et de tique, parasite suceur de sang), on s’en fout, tous des pourris.

Les sondages ont été inventés à la Préhistoire. Le résultat du premier sondage de l’histoire fut “Plusieurs pour plusieurs estiment qu’on devrait migrer vers le sud. Plusieurs pour plusieurs pensent en revanche qu’on est bien ici, au moins on connaît et on est sûrs de pas tomber sur des sauvages, alors que plusieurs pour plusieurs voudraient savoir à quelle heure on mange”. Une révélation qui n’eut pas l’impact attendu. On répondit au génial inventeur, le jeune UhUGrhuhr “T’es gentil, mais tu pourrais arrêter tes conneries cinq minutes et aller vérifier si la caverne, là-bas, elle est vraiment vide?”

En inventant les chiffres, les Arabes perfectionnèrent nettement le truc et c’est pour leur rendre hommage que l’unité utilisée aujourd’hui encore est le fameux pour cent arabe.

Mais sous nos latitudes (enfin sous les tiennes je sais pas, mais sous les miennes)(47,279N), l’idée ne prit pas tellement. Quand on demandait “Sur une échelle de 1 à 10, êtes-vous content du gouvernement actuel?”, la plupart des gens affirmaient ne jamais tellement s’être posé la question, surtout sur une échelle, mais pendant que tu y es ramasse-moi un kilo de fraises, merci.

Ce n’est que bien plus tard, vers le XXe siècle, que le sondage devint enfin cet outil indispensable à la bonne marche d’une société démocratique et libérale, grâce à trois journalistes fin bourrés au fond d’un bar qui trouvaient que bon, le reportage sur l’ouverture de la pêche, cette année, ça nous saoûle un peu, à la place, on va demander à 100 personnes de nous dire si ils préfèrent le rôti de porc ou lancer des objets.

blblbl

Thursday, November 9th, 2006

Le début de la préhistoire était plutôt paisible. Les hommes étaient un peu trop occupés à chasser le mammouth et le bison laineux pour se friter parmi. En plus, à l’époque, y avait suffisamment de grottes pour qu’on puisse développer sa petite tribu sans trop se prendre de bec avec le voisin qui joue du tibia jusqu’à 4 heures du matin.

Mais c’est toujours en période de crise que l’homme doit puiser dans son imagination pour trouver de nouvelles façons d’améliorer son quotidien, et c’est en pleine crise du cours du mammouth que le chef UhhGrrruhrhr inventa ce concept génial, sans laquelle nous ne pourrions plus imaginer vivre aujourd’hui (sauf Laeticia Halliday): la guerre.

Equipé de massues dernier cri et de massue high tech, ses hommes allaient vaillamment massacrer la gueule du voisin, violer les réserves et piller les femmes, pendant que le chef UhhGrrruhrhr restait au village pour s’occuper de l’intendance. Très vite, les tribus voisines comprirent l’intérêt de ce procédé révolutionnaire et le copièrent, pour le plus grand plaisir des mammouths, mais avec moins de talent.

Après chaque bataille, le chef UhhGrrruhrhr accroissait le nombre de ses sujets en leur expliquant comme ça qu’il fallait créer des synergies et qu’il allait malheureusement falloir dégraisser un peu les effectifs afin de réussir le turn around de la caverne. Les gens râlaient cinq minutes, avant de repartir vaquer. Puis on procédait à la pendaison du chef vaincu.

Mais des voix s’élevèrent pour protester contre ce système un peu injuste, quand même, de pendre le chef adverse comme ça, simplement, après tout ce qu’il nous a fait subir, il mérite un peu pire. UhhGrrruhrhr, qui était à l’écoute de son peuple, inventa un système de torture sophistiqué: les chefs adverses devaient en plus se taper un jugement équitable, au terme duquel ils étaient condamnés à mort.

Depuis, l’homme a inventé la tourte jambons-champignons surgelée, et de telles pratiques n’ont plus cours.

disclosure: le titre m’a aimablement été suggéré par Aurélia, la fille qui fait pas de vélo

Hiérarchie, demain à Morges.

Thursday, September 21st, 2006

Au début de la Préhistoire, l’organisation sociale était plutôt simple. Chaque tribu avait un chef et des tas de pas chefs. Puis la démographie galopa comme un poney au petit matin, les populations grandirent comme le poney lorsqu’il devient cheval, bref, y aurait eu du monde au portillon si les portillons avaient existé.

Cela impliquait, d’une part, que l’ambiance était un peu tendue pendant les longs mois d’hiver, imagine, quatre mois entassés à 250 dans une caverne, pas de cartes, pas de soirées karaoké, rien à faire à part peindre des mammouths sur les murs et même pas l’espoir d’être nominé à la fin de la semaine, forcément, y a un moment où les blagues d’UuuhGruhur et les jérémiades de UhGrhhur commencent à te taper sur les nerfs sévère, mais là n’est pas l’objet de ce post.

Cela impliquait également et d’autre part que pendant les mois de pas hiver, y avait un peu trop de monde pour aller chasser le mammouth. Le grand chef UhGruhr décida alors de créer des groupes de travail: chasse au gros gibier, chasse au petit gibier, outillage, développement d’activités ludiques hivernales.
Puis il fallut subdiviser les groupes en sous-groupes. Malheureusement, UhGruhr constata une baisse de productivité du groupe “taillage de pointes de silex”, qui n’avait pas atteint ses objectifs au premier trimestre -10012. De plus, des voix s’élevaient au sein du clan pour dire que “ceux de danse tribale et peinture rupestre, c’est des planqués, ils foutent rien de leurs journées”.
UhGruhr décida alors de nommer des chefs de groupe, des sous-chefs de sous-groupes, des adjoints et des sous-commissions de surveillance.

Conscient que ces tâches étaient plutôt ingrates, qui voudrait passer son temps à peindre des rapports et à fabriquer des colliers en trombones quand il pourrait courir gracieusement derrière un troupeau d’aurochs?, UhGruhr nomma aux nouveaux postes des vieux de plus de 21 ans, des boiteux, des “se donne de la peine mais en a aussi beaucoup” et tous les gens qui font moins de bêtises quand ils surveillent que t’en fasse pas que quand ils viennent t’aider à chasser la belette cendrée ou à découvrir le feu.

Mais, contre toute attente, les hommes étaient fascinés par ces nouveaux postes. Ils passaient désormais le plus clair de leur temps à espérer une promotion, dire du mal de leur chef, se plaindre que le boulot était mieux avant leur promotion, se demander pourquoi c’est ce con d’UuhGrhuhur qui est devenu chef du groupe “inventions de trucs plus sympas que le mammouth séché pour le petit-déjeuner”, j’étais meilleur que lui, c’est moi qui ai eu l’idée de traire des mammouthes pour faire du beurre, bon ok ça a fait trois morts mais si ceux de “systèmes de protection divers” avaient inventé le casque, ça serait pas arrivé.

Or, à l’époque, les gouvernements étaient très instables. On pratiquait la démocratie directe: lorsque le chef était contesté, on lui mettait un grand coup de gourdin sur le crâne, on l’offrait en sacrifice au premier tigre à dents de sabre de passage puis on s’élisait démocratiquement à sa place, directement, sans attendre 2007. Cela s’appelait un putsch, à cause du bruit que fait le gourdin quand il entre en contact avec la tête. UhGruhr vit dans ce nouveau système social le moyen d’occuper un peu les gens et, ainsi, de continuer à cheffer tranquillos pendant quelques années: pendant qu’ils s’intriguaient parmi, ils oubliaient de revendiquer la chefferie.

Depuis, le système a un peu évolué puisque “mammouths et tradition” et “furets, ratons-laveurs, pangolins et autres animaux pas très bons mais bourrés de protéines” ont fusionné.

au royaume des pingouins, les manchots sont empereurs

Friday, March 3rd, 2006

Alors
à la demande du jeune Julien G., (c’est fou le nombre de gens qui s’appellent Julien, de nos jours, ça doit être une conspiration mondiale) un post qui parle de cinéma
à la demande de la jeune Audeline, un post qui parle de casser la croûte
et à la demande du jeune Lalune, un post sur les origines du curling.
Dont acte.

Nous sommes au cénozoïque quaternaire. Un mardi, probablement, mais en cette période reculée, le mardi n’a pas encore été inventé. Nous sommes également en pleine période glaciaire et, curieusement, les gens regrettent plus la non-invention du chauffage central que celle du mardi.

En fait, des tas de trucs n’ont pas encore été inventés, car, on a beau dire, les gens de l’époque ne sont quand même pas très bien organisés. Et un peu monomaniaques. Ils passent leurs journées à courir après des mammouths et leurs soirées à peindre des mammouths sur les murs de leurs grottes, au mépris de toutes les règles élémentaires de respect de la propriété d’autrui. Il faut dire qu’ils n’ont même pas penser à inventer le droit du bail, c’est vraiment n’importe quoi.

Nunaviq (à l’époque, ils ont tous des noms inuit, à cause du froid) en a marre de bouffer du mammouth. Ok, ça te fait des châteaubriands kingsize et au moins des centaines de côtelettes, mais au bout d’un moment, ça lasse.

Il décide donc d’inventer la cuisine. Au début, les gens ne comprennent pas trop l’utilité du truc. Ensuite non plus, à vrai dire. Il faut dire que le malheureux Nunaviq n’est pas doué. Un jour, au lieu d’assister à l’atelier “peinture de mammouths niveau 4 – perspectives et approche des défenses” organisé par le sorcier du village, il décide de moudre des trucs. Et d’y ajouter de l’eau, comme ça, pour déconner. Et de faire cuire le truc, comme ça, pour rire.

Turmariq est à la veille d’une invention culinaire majeure, qui pourtant y restera, en veille, encore quelques petits siècles. Quand il fait enthousiastement goûter sa recette au chef du village, il se prend un pain. Il faut dire que sa création est tellement dure qu’on n’arrive même pas à casser la croûte. De dépit, Nunaviq va prendre ses miches et les balancer au lac. Mais elles glissent dessus comme des gouttes d’eau sur les plumes d’un canard, car peu coopératif, le lac est gelé.
C’est en regardant les évolutions circonvolutives de ses velléités culinaires sur la glace gelée que le jeune Nunaviq inventera le curling, avec le succès que l’on sait.

Un peu furax de voir un de ses hommes passer son temps à inventer n’importe quoi plutôt que de s’intéresser aux moeurs du mammouth comme tout le monde, le chef du village condamnera Nunaviq et ses créations culinaires à l’exil, et c’est de là que vient l’expression bouger ses miches.

Plus tard, à la fin de la glaciation, il se vengera en vendant des trucs congelés et les américains, même s’ils n’ont pas encore été inventés à l’époque, en tireront un film qui s’appellera “Brotbäckerei Mountain” et qui fera plusieurs entrées.

Actualité du ping-pong

Thursday, January 19th, 2006

Selon mon machin à statistiques, 98,3% des gens qui viennent ici ne sont pas américains. On va donc partir du principe suivant, sans choquer trop de monde: l’homme descend du train à 7h52, mais surtout du singe.

Aujourd’hui, quand, confortablement installé dans son canapé, une petite bière à la main, l’homme moderne regarde distraitement Dider Barbelivien dresser un portrait élogieux de Nicolas Sarkozy sous l’oeil énamouré de Michel Drucker, tout en pensant qu’il doit encore remplir sa déclaration d’impôts et passer au garage, il lui est difficile de se sentir proche de son ancêtre cavernicole, un morceau de bison à la main, confortablement assis sur un rocher, regardait Uuh-Gruut dresser un portrait élogieux de Uuh-Gruuhuut, un jeune chasseur désireux de devenir chef du village, sous l’oeil énamouré de Uu-Gruuhuuht, le sorcier, tout en pensant qu’il lui restait un bison à dépecer et un autre bison à dépecer aussi (les distractions étaient rares à l’époque, Zinedine Zidane n’ayant pas encore inventé le football).
Il faut dire à sa décharge qu’à l’époque non seulement il n’y avait pas de décharge mais que le jeune Uuh-Gruuhuut n’était pas obligé d’attendre les prochaines élections et de faire un tas de meetings, d’apparitions télévisées et de podcasts. Il s’approchait du chef du village, lui donnait un bon coup de tibia de bison sur la tête et le tour était joué. Mais là n’est pas le débat.

Depuis, l’humanité a évolué (évolué de ex et velus: ça veut dire qu’elle a moins de poil qu’avant, pas forcément qu’elle est plus maline qu’avant). Elle a inventé le feu, l’outil, le travail, les tripes à la mode de Caen, la ville de Caen, la religion, le sudoku, Michel Drucker, le tank, les impôts, le chewing gum, les sitcoms, les chihuahuas. Mais, tapis au fond de nous comme un tamanoir guettant sa proie, l’instinct ancestral ne demande qu’à ressurgir.

C’est pour assouvir cet instinct que l’humain a créé les soldes.
Observez attentivement une foule qui apprend que merveilleux, il y a encore 50% de rabais sur les articles déjà marqués d’un point rouge.
Regardez madame Chompard se jeter sur une paire de mocassins en simili-panda que jamais elle ne mettra, en plus c’est du 51 et son mari était cul-de-jatte avant de décéder irrémédiablement d’un accident de banjo, mais quand même ça peut toujours servir et à ce prix là, c’est pas cher. Ne retrouve-t-on pas en elle quelque chose du jeune Uu-Grhuhut qui se jetait désespérément sur un bison avant que les hyènes et son pote Uuh-Grut, plus costaud, ne viennent bouffer leur part?

Ou pas.