Posts Tagged ‘liste de trucs’

Bananier

Thursday, January 1st, 2004

(bon alors en fait, ce billet je vais le dater de cette nuit mais je vais pas l’écrire cette nuit, faut pas déconner, y a Drucker à la télé…donc si vous le lisez avant, vous êtes gentils, vous faites semblant de pas le lire. Même hepao)

Bonnes résolutions 2004:

– quand je vais boire une bière avec un copain, boire UNE bière.

– recommencer à fumer

– me faire tatouer un aigle dans le dos, même si y a à peine la place pour un moineau

– arrêter de poster n’importe quoi sur ce blog depuis des villages où que y a même pas l’adsl

– arrêter les jeux de mots vaseux

– refaire les couleurs de la colonne

– je sais plus

– manger un kinder bueno

– devenir riche et célèbre

– oui?

– sinon vous ça va?

– faire la vaisselle plus de six fois

– faire le ménage plusieurs fois

– j’en avais une vachement bonne mais je l’ai égarée dans les vapeurs de Hoegarden

– me faire idolâtrer

– arrêter de dire du mal d’Indchine, de Derrick et de Kyo. Ou pas.

– arrêter de rire comme une baleine quand je lis des blogs tout pourris.

– arrêter de prendre des résolutions

c’était mieux Avent

Friday, December 12th, 2003

En me promenant chez mon dealer, ce midi, mais pas mon dealer préféré, l’autre, le grand, celui qui a des ramifications partout, je me suis fait cette constatation: c’est bientôt Noël. Sur ses rayonnages, des tas de compilations, de best-of, de rééditions avec dvd collector et autres live, dont deux de dyonisos avec une couverture très très bien.

C’est bientôt Noël, donc, les rues se parent de mille feux, la joie et l’allégresse se lisent sur les visages parce que c’est bientôt les vacances et les magasins se font aguicheurs pour séduire les innocents en quête d’un chandelier en rotin pour tata Raymondine.

Et là, vous êtes peut-être déjà en train de vous faire des cheveux blancs, à cause de tata Brunehilde, celle à qui on peut pas offrir de parfum (“je pue, c’est ça?”), d’habits (“je sais pas m’habiller, c’est ça?”), de chocolat (“j’suis au régime”), de fleurs (“j’suis au régime”), de tourniquet (“j’suis allergique”) ou d’enclumes gonflables (“fais gaffe, derrière toi, une chauve-souris géante”).

Mais, ô lecteur, pour que tu puisses passer la période des fêtes dans la joie et l’allégresse de ton commerçant favori, voici une liste de cadeaux à offrir à des gens.

– un trampoline. C’est original, divertissant, ça prend pas beaucoup de place.

– un magasin de cédés. Offrir un bon, c’est impersonnel, offrir un cédé c’est courir le risque de se tromper. Alors que là c’est bien, y a le choix et c’est un cadeau utile.

– un lama. C’est original, divertissant et on peut les traire pour se faire des pulls.

– six mois de vacances aux Maldives. En général, ça plaît. Même à tata Brunehilde.

– les Maldives. C’est original, divertissant, mais ça prend un peu de place.

– la lune. Ca fait toujours très classe d’offrir la lune à quelqu’un.

– L’intégrale de Derrick. C’est original, divertissant, et idéal en cas d’insomnie.

– quatre bout de bois. Pour quand dans votre coeur il faisait froid.

– l’intégrale d’Indochine. C’est original, divertissant et ça vous aurait manqué si je l’avais pas mis.

– un sourire, votre amour, votre affection. Non, je déconne, c’est pas ça Noël!

Coming out

Wednesday, November 5th, 2003

Journaliste, c’est un des rares mots de la langue française à ne pas avoir la même signification au pluriel et au singulier. Prenons deux exemples concrets: “Ah ces journalistes, tous des menteurs”, mais “Quoi? T’es journaliste? Waaah trocoooool! Tu voyages beaucoup?” (à cette question, jeune padawan scribouillard, il faut répondre par un sourire monalisatesque. Il ne faut pas détruire les rêves des gens qui nous voient rampant sous les bombes alors qu’on est en train de s’empiffrer à l’apéro du choeur mixte)

Quelques exemples presque au hasard de journaleux: (mais de toutes façons, tous des menteurs)

Le ‘tit jeune qui n’en veut:

Il rêve de gloire, de strass, de paillettes, de signer des autographes, de CNN. Ce qui est idiot, les gens ne lisent pas les signatures en bas des articles, sinon ils se rendraient compte que tous les articles de la rubrique internationale de son quotidien régional sont signés par les dénommés Reuters et AFP (Alain-Ferdinand Poujol) et arrêteraient de demander si on voyage beaucoup. Mais bon, ne brisons pas les rêves du ‘tit jeune qui n’en veut. Il fait donc toutes les inaugurations, les assemblées communales de parti, serre des tas de mains et consomme des wagons entiers de cartes de visite.

Le consciencieux: (je mets tout au masculin pour généralifier, mais les consciencieux que je connais, c’est des consciencieuses)

Il vérifie 21 fois chacune de ses sources. Il veut être sûr de n’oublier aucun détail dans ses papiers. Du coup, le moindre article sur la courge de 320 kilos cultivée par monsieur Ducommun de Vugelles-la-Motthe lui prend une semaine de préparation, une semaine de rédaction, une semaine de “rah mais je vois pas où je pourrais encore racourcir, j’avais 12724 signes, là j’en suis à 8012 et je dois en faire 400… Non parce que si j’enlève le passage où je dis qu’il aime bien la fondue savoyarde, ça risque de vexer son cousin au sixième degré…je vais appeler la marraine de son plombier pour voir ce qu’elle en pense”

Le j’m’enfoutiste:

Le même que celui d’avant, sauf que c’est le contraire.

L’écrivain raté:

Il est persuadé qu’il écrit trop bien pour le commun des mortels qui a l’outrecuidance d’acheter le journal dans lequel il a la bienveillance d’écrire, parce qu’il faut bien manger et que ces salauds d’éditeurs lui refusent tous ces romans pourtant merveilleux, parce qu’ils ont peur qu’il fasse de l’ombre aux écrivains déjà établis. Quelque part, il a un peu raison: il écrit tellement bien qu’il faut prévoir quatre ou cinq heures pour comprendre le lead de son article “les sapeurs-pompiers de Rueyres-les-Prés tiennent leur assemblée générale”.

le Bluthund:

il aime les histoires qui sentent le sang, le sexe, la fange, les trucs sordides. Du coup, on les lui refile avec plaisir. Il hésite pas à se salir les mains. Il n’a pas d’amis. Si il apprend un truc malodorant sur quelqu’un, il ne lâche plus sa proie. Même si le quelqu’un est son concierge, son ami d’enfance, sa mère. Il a un gros salaire, mais il le dépense en procès. Il reçoit plein de coups de fils en période électorale.

L’ex ‘tit jeune qui n’en a voulu:

A force d’apéros, il a pris du ventre et ses joues arborent de magnifiques teintes automnales, dues à des années de p’tits verres de blanc. Il est divorcé, sa femme en ayant eu un peu marre des “ouais mais je peux pas louper l’assemblée du ski-club de Suscévaz, tu comprends, Jean-Robert Gloupowsky sera là, c’est super important, il va probablement annoncer sa candidature au poste de vice-secrétaire de l’association des amis de la pêche au vairon du Pied du Jura, j’aimerais pas que la concurrence l’apprenne avant moi, tu comprends, mais promis, dans six mois j’ai un trou dans mon agenda, on passe la soirée ensemble”. Il tutoie plein de monde, mais à force de p’tits verres de blanc, il ne se souvient plus trop qui. Il aime bien les nouveaux ‘tits jeunes qui n’en veulent à qui il dit: “ouais moi j’aurais pu aller à CNN mais bon, tu comprends, j’suis mieux là, j’ai des relations et tout”

Le supertalentueux:

Il est trop gentil pour faire un bon journaliste. Et trop flemmard, aussi, un peu, mais bon il compense. Son rêve, c’est d’être payé pour écrire/filmer/microphoner des conneries. Ou alors d’être nommé correspondant permanent aux Maldives. (On sait jamais, ça peut toujours marcher ce truc là)

et avec ça?

Tuesday, September 9th, 2003

C’est con ce matin, j’avais trouvé un truc désopilant à écrire, mais j’avais pas de pc sous la main. Même pas de mac. Sous ma main, j’avais de la peau de paume et puis du vide aussi. Et une poche. Avec des clés un briquet et un paquet de clopes au fond de la poche.


Et ma main s’est déplacée, le truc aussi, disparu. C’est dommage, pourtant, c’était désopilant, presque autant que la blague de la blonde qui voit une peau de banane.


Alors à la place, je vais faire une liste de trucs.


– une tronçonneuse


– du savon bio parfumé aux herbes de Provence


– un castor junior


– la page 12 de l’annuaire Jura / Neuchâtel / JuRa SuD


– Che Guevara


– la capitale du Guatemala


– courir dans les bois


– 1515, Marignan


–  un truc


– ça me fait peur


– Casper, le fantôme


– une poutine et du chocolat


– un private-joke


– un raton-laveur


 


Voilà, sinon vous allez bien? Vous êtes plutôt pour ou plutôt contre? Et vous pensez y aller ou pas?

j’l’aurais préférée vicieuse…

Wednesday, August 27th, 2003

La région où que j’vis à ceci de formidable qu’on y rencontre une espèce qui est en voie de disparition un peu partout ailleurs, par la faute de tf1, du matin et des conseils avisés de grand-maman: les auto-stoppeurs. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit de ces gens qui se postent au bord de la route avec un pouce en l’air, non pas pour se faire remarquer mais pour se faire véhiculer.

Cela dit, il y a d’autres trucs formidables dans la région, par exemple la tête de moine et la damassine, mais tel n’est point l’objet de notre propos.

Quand on est autostoppeur, on voit plein de choses amusantes: les gens qui te font signe qu’ils tournent à gauche à la prochaine, les gens qui te font salut mais qui s’arrêtent pas, les gens qui te regardent d’un air hyper méchant parce que tu oses faire du stop, les gens qui font semblant de s’arrêter, les gens qui s’arrêtent pour te dire “ah mais je vais juste à 100 mètres”, les gens qui regardent la gueule que t’as avant de décider si ils vont te prendre, les gens qui t’insultent digitalement.

Mais bon, vous savez ce que c’est, on s’embourgeoise, donc là en fait j’vais plutôt causer du point de vue de l’automobiliste bienveillant qui s’arrête pour prendre les stoppeurs, sauf quand il est déjà en retard.

Pour toi qui envisage d’adopter un petit auto-stoppeur, voici quelques conseils d’un ancien auto-stoppeur devenu aujourd’hui preneur d’auto-stoppeurs.

L’occasionnel: il a loupé son train et s’est dit qu’il allait faire du pouce pour arriver à la maison avant le Bigdil. Il commence par s’excuser 23 fois, puis te remercie 21 fois. C’est donc un autostoppeur plutôt gratifiant pour l’automobiliste.

Le taxeur: bon, en fait, Coluche en a déjà parlé, donc je vais pas me risquer. Il commence par te demander une clope, puis du feu, puis de l’argent, puis de l’héberger, puis les clés de ta voiture. En plus, si tu obtempères, il ne s’arrête même pas quand deux semaines plus tard tu le recroise, toi pouce à l’air et lui au volant de ton ex-voiture.

Le critique: il trouve ta voiture trop petite, pas assez bien rangée (enfin la tienne je sais pas, la mienne il la trouve en chenit), il aime pas la musique que t’écoute, tu roules pas assez vite, t’as les cheveux trop gras et tu passes pas par la bonne route.

La prévoyante (ou parano, ou mytho, c’est selon): première chose qu’elle te dit en montant, c’est que le dernier qui l’a prise en stop a essayé de la violer et qu’elle lui a fait un mawashigeri et une double clé de bras. Du coup t’es prévenu.

L’alcoolo: il fait du stop de bistrot en bistrot. Rarement méchant, à éviter si la route fait beaucoup de virages. En plus, il se mue bien souvent en taxeur.

Le missionnaire: il commence par t’amadouer avec deux-trois phrases bateaux, je vais à Herzogenbuchsee, il fait chaud, y a plus de saisons, puis tout à coup soudainement il t’explique comme ça que Jésus est avec toi et passe tout le reste du trajet à t’expliquer que toi aussi tu peux sauver ton âme. Si jamais il est témoin de Jéovah, il te laisse encore son journal en fin de parcours. A ne prendre que sur des courtes distances, donc.

Le bavard: à la fin du trajet, tu sais tout de l’actualité, de la météo et du petit dernier qui nous a fait une bronchite. A ne prendre que sur des courtes distances, donc.

Le généreux: il commence par te demander si il peut fumer dans ta voiture, tu t’attends donc à te faire taxer une clope et finalement non, il sort tout son petit matériel, se fabrique lui-même sa cigarette et te la tend après quelques bouffées. A ne prendre que sur des courtes distances, donc, sinon ça risque de devenir assez vite difficile de conduire correctement.

Le pressé: il doit absolument être à Herzogenbuchsee à 18h27. T’as tendance à te dire que quand on est pressé on fait pas de stop, mais le fait qu’il regarde sa montre toutes les 20 secondes a tendance à te stresser. Le fait qu’il affirme souvent: “là, on est sur un bout droit, je crois qu’il n’y a jamais de radars” a tendance à te stresser. A ne prendre que sur des circuits de formule 1.

L’angoissé: il s’agrippe au machin que je sais plus comment ça s’appelle mais où on peut s’agripper et il jette de nombreux regards furtifs pas si furtifs au compteur. Peut s’avérer stressant.

La ptite djeunz: elle envoie tellement de sms pendant le trajet que finalement, le train lui aurait coûté moins cher.

Les deux ptites djeunz: elles passent tout le trajet à pouffer bêtement et à se dire des trucs dans l’oreille. C’est mignon et en plus ça remplace la radio, pour une fois.

Le chelou: en fait il est supersympa, mais il a un peu l’air de pas l’être, donc tu passes tout le trajet à te demander quand il va t’égorger. Enfin, si tu es parano.

Le serial killer: selon mon expérience, on le rencontre plus souvent sur tf1 et dans les mauvais téléfilms que dans la réalité.

La nymphomane: selon mon expérience, on la rencontre plus souvent dans les mauvais téléfilms que dans la réalité. Mais pas les mêmes téléfilms.

c’est mon choix

Sunday, August 17th, 2003

– Vous avez terminé Pokemon Ruby et Saphir?


– Votre idôle est le recordman du monde du cracher de noyau de cerises?


– Vous préférez la Coop à la Migros?


– Vous adorez chanter du Britney Spears en cachette mais manque de bol votre voisin vous a entendu et vous l’avez abattu à coups de poêle à frire?


– Vous ne vous brossez pas les dents après chaque repas?


– Vous êtes la réincarnation d’un castor?


– Vous avez récemment entamé de raconter votre vie sur un weblog en espérant vous faire couvrir d’insultes par les internautes de passage, mais ceux-ci vous refusent ce droit fondamental?


– Vous avez des genoux?


– Vous adorez parler pour ne rien dire avec des gens qui adorent écouter pour ne rien entendre?


– Vous avez trouvé un sens à ce billet?


– Vous détestez les émissions télé superficielles qui font croire aux gens que changer de futale leur permettra de résoudre tous leurs problèmes?


Si ce sont vos choix, que vous les assumiez pleinement ou que vous les regrettiez, faites un triple saut périlleux arrière en mangeant un bouillon de pâtes. Et parlez-en à un spécialiste.

la rumeur

Monday, July 14th, 2003

Vu les us et coutumes du monde magique et merveilleux des blogs, je me dis comme ça que ça doit être un endroit assez propice au développement des fausses rumeurs.

Tu balances une info, quelqu’un la lit, se dit ah ouais mais non c’est pas possible ça alors non, il ajoute son grain de sel, poivre, moutarde, laisser cuire à feu doux pendant un quart d’heure et servez tiède avec une sauce. Du coup, la fausse rumeur touche ses 12 lecteurs en plus des 8 tiens, un de ses 12 lecteurs reprend l’info, ça touche ses 9 lecteurs, un de ses lecteurs reprend l’info… Je pense que le principe est clair, là. Au bout de six mois, tu peux être sûr que la fausse rumeur a touché tout le petit monde magique et merveilleux du blog, plus leurs potes, plus des potes de leurs potes. Avec un peu de bol, la fausse rumeur arrive jusqu’aux oreilles d’un journaliste en manque de scoop et c’est quine, double-quine, carton, la fausse rumeur sort du joli pays des blogs et s’attaque au monde, fait une entrée remarquée dans le paysage audiovisuel des légendes urbaines. Sauf si le journaliste vérifie ses sources, mais bon, si il était sérieux, il ferait un vrai métier.

Enfin, j’imagine que ça se passe comme ça. Mais pour vérifier, je vais tenter une expérience: je vais balancer une série de fausses rumeurs pour voir s’il y en a une qui devient grande et forte.

Oui alors je sais, j’ai prévenu avant qu’elles étaient fausses, donc c’est qu’elles sont pas vraies. Oui mais attention! Je vais peut-être en glisser une vraie dans le tas. Subtil, non?

Si, je trouve ça super subtil.

Bon allons-y.

Non en fait, je temporise parce que je sais pas tout à fait quoi lancer comme rumeurs.

Bon allez, je me jette à l’eau. Plouf.

* Il paraîtrait que Lance Armstrong va gagner le Tour de France cette année, mais en fait si il est si fort c’est parce que des médecins américains lui ont greffé des organes irradiés bioniques qu’ils ont développé en faisant des expériences sur des souris.

* J’ai un copain qui m’a dit que (cette phrase est très utile dans le lancement d’une fausse rumeur, elle lui donne une légitimité) au FBI, ils auraient une section spécialisée dans le lancement de fausses rumeurs sur des blogs. Comme ça, pour le fun, ça ne se sait pas mais c’est des sacrés déconneurs au FBI.

* Il paraîtrait que Nolwenn de la Star Ac’ va sortir un cd en duo avec Céline Dion, sponsorisé par Phonak, leader mondial des appareils pour les sourds, qui renoncerait à sponsoriser des cyclistes, vu que personne n’a jamais compris le rapport entre le vélo et la surdité.

* Il paraîtrait que en fait, Jean-Paul Ollivier connaîtrait par coeur les noms de tous les villages français du monde, de toutes les églises de villages français du monde et de toutes les manufactures de pots à fleurs en terre cuite de tous les villages français du monde et qu’il ne ferait pas que relire bêtement ce qui est écrit sur les dossiers de presse.

* Il paraît que ce soir, on mange du cassoulet.

* Le bruit court que l’association des fabricants de hamac s’apprête à faire grève, d’une part pour protester contre des conditions de travail toujours plus pénibles, de l’autre parce que c’est fashion.

* Selon certaines sources bien informées, la compagnie aérienne Swiss ferait faillite prochainement et serait immédiatement remplacée par une nouvelle compagnie nommée Sw.

* J’ai entendu dire que le prochain prix Nobel de la Paix va être attribué à Robert Fonjallaz, de Suscévaz, qui a su ramener la paix entre son fils aîné Jean-Xavier et son fils cadet Paul-Matthieu. Les tensions avaient débuté quand Jean-Xavier avait cassé la nouvelle Playstation de Paul-Matthieu.

* On murmure que en fait, ce ne serait pas la cigogne qui apporterait les bébés. En fait, il suffirait que le papa mette son zizi dans celui de la maman. Ensuite, après une série de mouvements et de processus chimiques trop complexes pour être décrits ici, le bébé arriverait.

* Il paraît que l’année dernière, une souris de laboratoire américaine aurait mis 5 minutes à Lance Armstrong dans l’Alpe d’Huez. L’affaire aurait été étouffée par le FBI à l’aide d’une trappe à souris bionique.