Nous sommes aujourd’hui mercredi (je peux le prouver), le jour des sorties cinéma.
Il y avait les adaptations de roman. Les adaptations de séries télévisées, aujourd’hui classiques. Les adaptations de jeux vidéo, en voie de banalisation, comme le récent Prince of Persia dans lequel Jake Gyllenhaal, après s’être fait découper trois fois par la même scie circulaire, en a marre et va plutôt faire un foot avec les copains. Et même les adaptations de blog, comme le récent Julie&Julia. Ou encore les adaptations de publicités, avec tous les James Bond récents, ou de chaussures, avec Sex and the City. Quel merveilleux terrains d’exploration reste-t-il aux réalisateurs ?
Eh bien, j’ai songé aux adaptations de gags classiques.
La mère de Toto a trois fils
Fils cadet d’une famille de la petite bourgeoisie londonienne, jalousant le succès de ses aînés Pim et Pam, Toto vit dans une perpétuelle recherche de lui-même qui l’emmène dans des questionnements intérieurs sans fin, jusqu’au jour où il rencontre la sculpturale Poum.
Tiens-toi bien au pinceau, j’enlève l’échelle
Jean-Helmut, un homme psychologiquement amoindri, s’accomplit grâce à la peinture. Il réalise de splendides fresques murales, mais sur des plafonds. Jusqu’au jour où il est victime d’un terrible accident d’échelle. Parviendra-t-il à remonter un jour la pente et aux barreaux ?
Paf le chien
Un chien traverse la route. Une voiture l’écrase.
C’est un Belge, un Français et un Guatémaltèque qui mangent des churros
Trois amis de nationalités différentes se rencontrent dans une fête foraine. Leurs destins vont irrémédiablement être bouleversés par l’arrivée d’un compère norvégien.
Oh non, je vais encore tomber
La vie décousue de Marie-Pamela, une jeune fille blonde à qui sa légère distraction fait vivre moult aventures trépidantes.
Les aventures de super-tomate
Le seul film de super-héros dont le héros est rouge, vole et porte une cape.