de la maïeutique néo-classiciste appliqué aux pelles à tartes

Y a un truc qui manque à ce blog:

Un bon débat bien trollesque, avec atteignage du point Godwin (qui n’a rien à voir avec le point G, unité de tricot assez connue) assez rapide, apparition d’insultes au huitième commentaire, analogie avec le fascisme autour du quinzième, tentative de recentrage du débat autour du 48ème, redérapage au 49ème et un type qui répète dont feed the troll tous les huit messages. Et un autre qui donne sa recette pour préparer la mayonnaise au saumon fumé, parce qu’il s’est trompé de fenêtres.

Pour ça, faut trouver un sujet qui soulève les foules, un bon piège à trolls.

Dont acte.

Les mac c’est pas très bien
Indochine, c’est pas très bien
Les chiens, des fois, ça sent pas très bon
L’acte de l’être en puissance en tant qu’il est en puissance
Les blogs, ça sert à rien
Les trains allemands, c’est des cons
Les insecteurs allemands des séries de la télé aussi

Bon, finalement, c’est dur de trouver un sujet original et suffisamment sujet à polémique. Et les gens qui savent pas trouver de conclusions à leurs billets, c’est tous des cons.

scream et châtiment

C’était une soirée d’apparence tranquille. J’étais seul à la maison, je m’apprétais à m’adonner à diverses activités. Le vent soufflait dans les branches d’un sequoia voisin. Sur la télé, la neige avait envahi l’écran (mon proprio est décidément doté d’un sens de l’humour tout à fait aléatoire)

Quand soudain, le téléphone retentit. Un doute mes trains, une vague prémonition m’incita à ne pas décrocher. Mais je la balayais d’un revers de la main, car je n’avais pas de balai à portée immédiate et, du coup droit service-volée, décrochai le téléphone.

A l’autre bout du fil, une voix. Ce qui est plutôt normal, d’ailleurs. S’il y avait eu un hululement, ça aurait pas aidé le dialogue.

« Puis-je vous poser quelques questions », me demanda la voix (ou plutôt sa possesseuse, présumai-je, mais enfin pour ce que j’en savais, ça aurait tout aussi bien pu être juste une voix)

« Euh… », répondai-je, puis, dans un soudain assaut de témérité, « allez-y », ajoutai-je.

« Quel est votre film d’horreur préféré? »

« Euh… Titanic »

*En êtes-vous plutôt satisfait, plutôt très satisfait, plutôt moyennement satisfait, plutôt pas vraiment satisfait mais un peu quand même, plutôt plus ou moins insatisfait, ne sait pas? Et, sur une échelle de 1 à 5, trouvez-vous le fromage frais plutôt polyvalent? »

La prochaine fois que vous lirez, dans vos journaux, 23% des trompettistes de moins de 23 ans préféreraient partir six mois au Costa Rica plutôt que de manger du lait en poudre, ayez une pensée émue pour tous ces malheureux innocents torturés pendant des heures par des instituts de sondage.

Il ne faut pas prendre les canards sacrés pour des laquais sauvages

Sur un blog, à quoi sert le trackback?

Tout d’abord, un peu d’étymologie. Trackback vient de traque, comme dans le célèbre film « traque sur internet » où quelqu’un traque quelqu’un sur Internet, et de Back comme le célèbre peintre Jean-Sebastien Bach.

Oui mais alors à quoi sert le trackback?

Et bien à traquer Jean-Sebastien Bach sur Internet. Ainsi, on se rend aisément compte qu’il n’a aucun lien de parenté avec Jean-Sébastien Giguère.

Et donc, à quoi sert le trackback? Et bien strictement à rien. Sauf si l’on est passionné des sculptures de Jean-Sebastien Bach.

Mais de toutes façons, les blogs ne servent à rien non plus…

Prochainement, un autre concept mystique: le ping

Ou alors les chaussettes

Un festival, c’est l’occasion de faire de nouvelles connaissances, de fraterniser entre les concerts (parce que pendant la conversation se limite un peu à excusez-moi, excusez-moi, excusez-moi, mais arrête de pousser).

C’est pour ça, et pas pour être sûrs de gagner plein de thunes comme le prétendent les mauvaises langues, que les programmateurs du Paléo misent sur l’éclectisme. (J’en ai fait un peu quand j’étais jeune ™ les inconnus)

Par exemple, cette année. Bon, si on prend l’affiche du vendredi (qui déchire sa race), on se dit que Adamo va se sentir un peu seul. Mais bon, en été, pas de risques que la neige tombe et on sait jamais, peut-être de nouveaux couples se créeront-ils à cette occasion (« Vous permettez, monsieur, que j’invite votre fille à aller voir un autre concert, parce que si elle reste là elle va finir dépressive, la pauvrette, promis je mettrai pas mes mains sur ses hanches? »)

Mais l’affiche du samedi est encore plus mieux. Imaginez un moment les gens viendus pour écouter Georges Moustaki et Robert Charlebois. Vous les imaginez, là? (Moi pas du tout, en fait, mais je présume qu’ils viennent à des festivals avec un petit linge pour s’asseoir par terre).

Maintenant, imaginez les gens viendus pour IAM. Vous les imaginez, là? Vous les imaginez bien?

Vous leur avez mis des pantalons trop grands, une casquette et un collier en bois?

Vous les faites parler bizarrement, avec un accent de banlieue copié de celui entendu à la télé, parce que bon, ceux que vous imaginez en fait ils viennent de la banlieue de Morges?

C’est pas un peu fini, ces préjugés??

Et bien, grâce à la magie des festivals, les publics vont peut-être se mêler. Parce que bon, entre deux concerts, le combo fallafel-rouleau de printemps-bière pas fraîche-43 minutes d’attente devant les toilettes, ça va un moment, mais des fois tu te décides à quand même aller voir un moment les gens pour qui t’es pas venu, c’est même un peu le principe du truc. Donc les gens vont faire des découvrages musicaux, les uns diront « Je ne comprends pas bien toutes les paroles, mais ces jeunes gens m’ont l’air fort dynamiques ». Les autres diront « Zyva comment que Georges Stakimou il déchire veugra, c’est trop un lascar, ouf, koss omagh. »

Et peut-être les deux publics sympathiseront-ils autour d’une cigarette avec pas que du tabac dedans (parce que oui, les vieux d’aujourd’hui fument, tout fout le camp, de mon temps c’était différent, y a plus de vieillesse).

Ou alors peut-être les fans de Moustaki diront-ils « chérie, surveille bien ton sac à main, avec tous ces jeunes rappeurs qui traînent, j’ai lu dans le journal qu’ils étaient très méchants, surtout celui là avec sa gueule de métèque de juif errant de pâtre grec et ses cheveux aux quatre vents, ça doit être une canaille, un mauvais garçon » pendant que ceux d’Iam diront-ils « zyva, c’est trop d’la zik de ieuv, relou, on va roib une reub »?

Joue-là comme Beckham

David Beckham avait la réputation d’être un excellent tireur de coups-francs. Mais selon certaines révélations relayées par une certaine presse, il ne serait en fait pas très franc. (par contre le reste de la phrase est confirmé)
Alors bon, bien sûr, cette affaire est très triste. C’est vrai, Victoria Beckham apprend que son mari va à gauche alors que normalement il joue plutôt au milieu, c’est moche. Et elle avait pas besoin de ça, elle a déjà beaucoup souffert (elle a quand même été obligée de supporter tous les concerts des Spice Girls).
Mais au-delà de cette sordiditude, il y a une bonne nouvelle pour tous les gens avides de gloire et de télé. Parce que bon, même si apparemment la madame en question aurait bel et bien eu un aperçu de la célèbre force de pénetration de David Beckham, force est de constater que c’est assez facile de faire la une des journaux en racontant n’importe quelle connerie, et même de toucher plein de sous pour ça. Et va savoir, elle pourra peut-être même écrire un livre dans six mois.
Donc si tu es avide de gloire, de strass et de paillettes, le truc übertendance (il paraît que c’est tendance d’utiliser le préfixe über) (par exemple: moi, mon chat, je lui donne tous les jours du überfelix) c’est de balancer une révélation sur une star. Vraie si possible, mais sinon il faut broder. Suffit de savoir répondre aux questions du gens qui t’interviewe à la télé. Un peu comme à « qui veut gagner des millions », mais sans l’appel à un ami.
Par exemple, tu affirmes : « Elodie Gossuin fait de la politique », les gens y croient tellement qu’elle se fait élire.
Il suffit de prendre une star digne de faire la une des journaux. Ne t’avise pas de balancer une révélation sur Christophe Stephen, tu ne gagnerais pas assez pour couvrir les frais de procès.
Ensuite, il faut balancer une info vendeuse. Par exemple, si tu affirmes « j’ai fait un squash avec Britney Spears » ou « le prince William fait du water-polo », aucun journal ne te donnera des millions.

J’ai discuté philosophie néo-hégelienne avec George Bush.

parce que bon, des fois, je sais pas quoi mettre comme titre

Fin avril, c’est une période où beaucoup de Gens Bien ont leur anniversaire.

Mais c’est aussi la période des conférences de presse des festivaux, celles où ils dévoilent enfin leur programmation. (Selon les experts, ces deux événements ne seraient toutefois pas liés).

Donc dans quelques jours, Paléo expliquera que « cette année, nous avons opté pour une programmation tout public, avec plein de trucs qui vont attirer plein de gens et nous faire gagner plein de thunes, mais ça va faire râler les puristes », Belfort va probablement annoncer une programmation qui va faire pleurer les gens qu’ont plus de sous.

Et donc, en attendant la conférence de presse, les programmateurs gardent précieusement le secret et, quand on est un peu potes avec eux et qu’on leur dit « alors, j’ai entendu dire que y aurait Yvette Horner en duo avec Korn cette année », ils se contentent d’esquisser un sourire monalisesque.

Mais les artistes, qui sont des rebelz de la society, oublient souvent d’aider les programmateurs à faire leur petit effet. Et comme ils sont des rebelz de la society moderne, ils vendent la mèche sur leur site internet. Ils la vendent gratuitement, en plus, car ce sont des rebelz de la society super généreux.

Et donc, le truc qui fait hype et trendy une semaine avant les conférences de presse, c’est de dire à ses potes « Han, Paulo et son accordéon il sera au festival de Pompaples cette année, j’ai vu ça sur son site internet. »

Alors, quand on est avide d’hypeness et de trenditude, on explore un peu les sites ouaibes des artistes en vogue. Par exemple celui de Vincent Delerm, histoire de voir si il sera en concert quelque part ou si il se contentera, après Veruca Salt et Frank Black, son magnifique trio avec Keren Ann et Dominique A., de faire de la publicité pour les pastilles pour la gorge. Et après quelques recherches, ben en fait pas vraiment de scoop programmistique, mais un scoop quand même: apparemment, Christophe Miossec préparerait sa reconversion.

maux croisés

maux croisés.JPG

Horizontudement:
1) célèbre groupe gothique avec des paroles vachement trop touchantes
2) au milieu du gâteau au chocolat / mot vachement pratique dans les mots croisés
3) interjection exprimant le raclement de gorge / expression exprimant le mécontentement dans les films américains
4) truc dégueu
5) truc qui vogue quand il est écrit juste, ce qui n’est pas le cas ici
6) célèbre quotidien sportif espagnol / qui a un peu dû tirer la gueule quand ils ont été ridicules
7) onomatopée exprimant un certain mécontentement / pays qui exprime son mécontentement plutôt vivement
8) ex-vice plutôt gore / pays plat, mais là c’est ce qui est écrit sur les plaques, pas le nom du pays, parce que des pays en deux lettres y en a pas des masses

Verticalement:
un) trois fois la même lettre
deux) mot signifiant « il fait un peu froid, y a plus de saisons, de mon temps c’était pas comme ça » en dialecte martien
trois) arrêta d’avoir la même voix que M
quatre) code internet du Sao Tome e Principe
cinq) animal sympathique malgré sa queue plate
six) rire sardonique / interjection exprimant une soudaine hésitation
sept) pas elle / zut, j’ai mis deux fois le même mot dans cette grille
huit) truc qu’on peut mettre sur les tartines, sur les crèpes. Mais on peut aussi en mettre sur les vitres, si on veut
neuf) téléphone maison

épisode II: les bronzés passent le bac

Résumé des épisodes précédents, pour ceux qui aiment pas les rallonges: pour le moment, il ne s’est rien passé.

Jean-Roger découvrit donc ses compagnons d’aventure.

Ils étaient au nombre de sept comme les sept nains, les sept samouraïs, les sept boules de cristal, laisse cette théière où elle est et télé-sept jours. Ils avaient tenu à engager un huitième histoire de pouvoir jasser le soir et parce que finalement, huit c’est un bon chiffre pour ce genre d’histoires.

L’un après l’autre, ils se présentèrent, chantèrent des trucs traditionnels de leur pays et déclinèrent leurs noms ainsi que ceux de leurs parents dans douze langues différentes. Mais on va la faire courte.

Comme il est de coutume, il y avait un elfe et un nain. L’elfe était grand, il était beau, il sentait bon le sable chaud. Mais il s’appelait Rodolphe. Vachkiri le nain était un ancien héros nostalgique qui, à cause de la récession, avait dû faire des métiers dégradants comme ouvreur dans un cirque et fermeur dans Fort-Boyard. Il aimait à raconter ses souvenirs du temps jadis, surtout la fois où il était venu à bout de Hojt, un guerrier pas gentil qui avait pour habitude d’écouter du hard rock le soir après 22 heures.

Il y avait aussi Svetlana, une farouche guerrière qui avait pratiqué durant de longues années le lancer du poids avant de se lancer dans le pétage de gueule d’orques, Ramon, un sorcier alcoolique, Greumleuk, un troll qui avait décidé d’être avec les gentils, pour voir, et qui s’était spécialisé dans le trollage de forums sur les sites consacrés à l’élevage des moutons Shetland, Pétronille, une magicienne qui savait super bien faire le tour du lapin qui sort du chapeau et Sacha, un dresseur de pokémon qui s’était trompé de porte.

« Ca en fait du monde » se dit Jean-Roger, qui avait l’esprit pratique.

« Bon alors voilà, nous, on est des gentils et on doit aller tuer un méchant qui veut faire du mal », expliqua Rodolphe à Jean-Roger, histoire de le tenir au courant.

« Et pour commencer, on va aller passer le bac, histoire de donner un sens au titre de cette histoire. » Les huit compagnons enfourchèrent donc leurs cheveaux, sauf Jean-Roger qui avait toujours préféré ce noble animal accompagné de beurre café de Paris et se décida à y aller en stop.

Il se fit conduire par une sympathique retraitée qui lui dit que beau temps pour la saison, j’espère qu’il va pas pleuvoir dimanche.

A suivre
mais pas tout de suite

le blougou à propulsion inversée

Jean-Roger déplia son journal. Il sauta rapidement sur le compte-rendu de l’assemblée du choeur mixte de Rebeuvelier, jeta un coup d’oeil distrait à son horoscope qui lui annonçait que Mercure lui apporterait félicité, opprobre, un café et l’addition et parcourut le chemin qui le séparait de la rubrique sportive, quand soudain son regard fut attiré par une offre d’emploi:

« Vous accompagnerez un groupe d’aventurier partant pour sauver le monde, libérer la princesse, retrouver un trésor, machin tout ça.
Vous assurerez le rôle de boute-en-train du groupe, afin que le public puisse s’identifier la moindre, parce que bon, tous ces héros qui pourfendent des gobelins, c’est pas fédérateur.
Vous êtes maladroit, froussard mais plein de bonté. De plus, votre apparence physique n’est pas trop à votre avantage, histoire que les jeunes filles tombent amoureuse du beau héros au regard ténébreux et pas de vous, faut pas déconner, quand même. »

Jean-Roger n’avait jamais envisagé de quitter son emploi: en dix ans de service, il avait acquis un talent certain dans la confection de colliers en trombones et connaissait sur le bout des doigts l’emploi de la machine à café.

Pourtant, une impulsion subite le poussa à répondre à la petite annonce.

Quelques jours plus tard alors qu’il n’y songeait plus, absorbé qu’il était à battre son record de démineur, son téléphone se mit à sonner:

« Bonjour, ici la société Truc, connaissez-vous notre nouvelle ligne de casseroles ultra-adhésives? » Il fut obligé d’admettre que pas vraiment, mais que jusque là il ne s’en portait pas trop mal.

Puis il s’installa dans son fauteuil pour regarder la rétrospective spéciale Dalida, non pas dans son fauteuil mais bel et bien dans son téléviseur, en s’accompagnant de chips au gorgonzola, quand le facteur sonna trois fois.

« Bonjour, je vous apporte une lettre »
« C’est fort aimable à vous »
« Beau temps pour la saison, n’est-ce pas? »
« Oui, j’espère qu’on aura soleil ce week-end, j’avais prévu de vidanger mes pétunias »

Il ouvrit la lettre et découvrit qu’il était convié à un entretien d’embauche, le lundi suivant à 11 heures 17.

Le lundi suivant à 11 heures 17, il se rendit à un entretien d’embauche.

« Bonjour, c’est pour l’entretien »
« Assieds-toi coco….tu sais jouer d’un instrument? »
« Ben…j’ai fait un peu d’ocariña quand j’étais petit »
« Ok coco…c’ets important la musique pour la bonne humeur dans le groupe. Tu connais des blagues cochonnes? »
« C’est un type qui croise un autre type et qui lui demande du feu… »
« Excellent coco…tu peux commencer tout de suite? »

Jean-Roger, qui n’avait pourtant jamais été d’un naturel impulsif, téléphona immédiatement à son patron et lui annonça qu’il venait de décéder dans d’atroces souffrances et que, par conséquent, il était obligé de présenter sa démission immédiate.

Le type de l’entretien regarda Jean-Roger et lui dit: « Encore un détail, coco…il faudra t’habiller en héros, pas en blaireau, c’est important pour la crédibilité de l’histoire. »

Il envoya donc Jean-Roger se faire relooker par Evelyne Thomas, qui lui donna de bon coeur un othographe. Et le relooka en guitar-heroe

Puis Jean-Roger s’en fut rejoindre ses nouveaux compères

A suivre.
Ou pas.

ajoutez ici le titre du billet

Quand l’âme est amorphe, ose (de Kafka) te contenter de pneu, me dis-je en substance après trois tentatives de postage morts-nées pour cause de billets sans tête, sans queue (mais c’est pas le genre de la maison, le billard est un sport dangereux) (je connais un type qui a du passer sur le billard pour une ablation de la rotule gauche et qui regarde régulièrement Julien Courbet (pas le peintre précurseur de nioulouke, l’autre)) et surtout sans grand chose entre deux.

Je me contenterai donc de vous conseiller de lire un livre que j’ai lu, car j’ai vu que ça se faisait sur les blogs.

Je vous conseille de lire un livre que j’ai lu.

Ou un autre. Ou le mode d’emploi d’un truc.

Ou de regarder la télé, ou de finir les restes de la blanquette.

Ou alors de tenter la traversée de l’atlantique en pédalo.

Ou bien d’organiser un combat entre un éléphant et un hippopotame, histoire de voir c’est qui le plus fort.