un endroit où parler de rien et de rien
Vous n'êtes pas identifié.
Debout ! les damnés de la terre
Debout ! les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère :
C’est l’éruption de la fin
Du passé faisons table rase
Foule esclave, debout ! debout !
Le monde va changer de base :
Nous ne sommes rien, soyons tout !
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Compagnon de misère, compagnon de combat,
Toi que l'on faisait taire
Toi qui ne comptais pas
Tu vas pouvoir
enfin le porter
Le chiffon rouge de la liberté
Car le monde sera
Ce que tu le feras
Un amour de justice et de joie !
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Le monde appartient aux patrons dont les ouvriers se lèvent tôt
N S
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Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Ami, entends-tu le son lourd du pays qu'on enchaîne ?
Ohé partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme !
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes.
Montez de la mine, descendez des collines, camarades,
Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades;
Ohé les tueurs, à la balle et au couteau, tuez vite !
Ohé saboteur, attention à ton fardeau : dynamite ...
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons, pour nos frères,
La haine à nos trousses, et la faim qui nous pousse, la misère.
Il y a des pays où les gens au creux du lit font des rêves
Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève...
Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe ;
Ami, si tu tombes, un ami sort de l'ombre à ta place.
Demain du sang noir séchera au grand soleil sur les routes
Sifflez, compagnons, dans la nuit la liberté nous écoute...
(Bon, Ã l'origine je voulais chanter du Lorie, mais c'est pas venu)
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Bon, bah puisqu'il faut chanter, chantons !
Le jour se lève à peine
Je suis déjà debout
Et déjà je promène une larme sur mes joues
Le café qui fume
L'ascenseur qui m'attend
Et le moteur que j'allume
L'aident à prendre lentement
Prendre ma place dans le trafic
À prendre ma place dans le trafic
J'aimerais que quelqu'un vienne et me délivre
Mais celui que je viens de choisir
L'a donné juste assez pour survivre
Et trop peu pour m'enfuir
Je reste prisonnier de mes promesses
À tous ces marchands de tapis
Qui me font dormir sur la laine épaisse
Et qui m'obligent au bout de chaque nuit
À prendre ma place dans le trafic
(c'était juste un extrait, vous connaissez la suite)
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(non)
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Dans ce cas, et comme c'est si gentiment demandé, la voici :
Et quand je veux parler à personne
Quand j'ai le blues
Je vais décrocher mon téléphone
Et je fais le 12
Je suis un mutant, un nouvel homme
Je ne possède même pas mes désirs
Je me parfume aux oxydes de carbone
Et j'ai peur de savoir comment je vais finir
Je regarde s'éloigner les rebelles
Et je me sens à l'étroit dans ma peau
Mais j'ai juré sur la loi des échelles
Si un jour je veux mourir tout en haut
Il faut que je prenne ma place dans le trafic
Faut que je prenne ma place dans le trafic
Et quand je veux parler à personne
Quand j'ai le blues
Je vais décrocher mon téléphone
Et je fais le 12
Parce que quoique je dise
Quoique je fasse
Il faut que passent les voitures noires
Je suis un mutant, un nouvel homme
Je ne possède même pas mes désirs
Je me parfume aux oxydes de carbone
Et j'ai peur de savoir comment je vais finir
Il y a tellement de choses graves
Qui se passent dans mes rues
Que déjà mes enfants savent
Qu'il faudra qu'ils s'habituent
À prendre ma place dans le trafic
Sister "yakademander"
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par ici
Nous sommes les persécutés de tous les temps et de toutes les guerres
Toujours nous fumes exploités par les tyrans et leur cerbères
Mais nous ne voulons plus fléchir sous le joug qui courba nos pères
Car nous voulons nous affranchir de ce qui cause nos misères
Eglise parlement magistrature état militarisme
Patrons et gouvernant débarrassons-nous du capitalisme
Pressant est notre appel donnons l'assaut au monde autoritaire
Et d'un coeur fraternel nous réaliserons l'idéal libertaire
Ouvriers ou bien paysans travailleurs de la terre ou de l'usine
Nous sommes dès nos jeunes ans réduits au labeur qui nous mine
D'un bout du monde à l'autre bout c'est nous qui créons l'abondance
C'est nous tous qui produisons tout et nous vivons dans l'indigence
L'état nous écrase d'impôt il faut payer ses juges sa flicaille
Et si nous protestons trop haut, au nom de l'ordre on nous mitraille
Les maîtres ont changé cent fois c'est le jeu de la démocratie
Quelque soit ceux qui font les lois c'est toujours la même supercherie
Pour défendre les intérêts des flibustiers de la grande industrie
On nous ordonne d'être prêts à mourir pour notre patrie
Nous ne possédons rien de rien nous avons l'horreur de la guerre
Voleurs défendez votre bien ce n'est pas à nous de le faire
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j'ai la quéquettte qui colle
j'ai les bonbons, qui font des bonds
j'ai la quéquette qui colle
dansons sur le pont d'Avignon
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Ah Gloria, heureusement que tu es là !
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Et si c'est propre et si c'est net on se f'ra la brouette...
Vient avec moi jolie Juliette, j'ai les arpions qui fouettent...
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Je cherche un peti-it bois touffu Que vous portez, Amin-in-the
Qui couvre s'il n'es-est pas tondu Un petit la-a-by-y-rin-in-the
Tous les mois on-on voi-(a)t quelque fleu-eurs Colorer le riva-a-ge
Laissez moi verser que-el-que-es pleu-eurs Dans ce joli-i bo-o-ca-a-ge.
Allez, monsieur porter vos pleurs
Vers un autre rivage !
Vous pourriez bien gâter les fleurs
De mon joli bocage.
Car si vous les versiez tout de bon
Des pleurs comme les vôtres
Pourraient dans une autre saison
M'en faire verser d'autres.
Quoi ? Vous craignez l'événement
De l'amoureux mystère ?
Vous ne savez donc pas comment
On agit sur Cythère ?
L'amour modérant sa raison
Dans cette aimable guerre
Sait bien arroser le gazon
Sans imbiber la terre !
Je voudrais bien, cher amant
Hasarder pour vous plaire
Mais dans ce fortuné moment
On ne se connaît guère.
L'amour maîtrisant vos désirs
Vous ne seriez plus maître
De retrancher de nos plaisirs
Ce qui vous donna l'être.
Voltaire....^^
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Gloria Nus a écrit:
j'ai la quéquettte qui colle
j'ai les bonbons, qui font des bonds
j'ai la quéquette qui colle
dansons sur le pont d'Avignon
Voilà , ça je connais.
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Sister of Night a écrit:
Et si c'est propre et si c'est net on se f'ra la brouette...
Vient avec moi jolie Juliette, j'ai les arpions qui fouettent...
Voilà ça aussi je connais
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Ce n'est pas une rubrique découverte?°°
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nan, c'est une rubrique qui ne servait à rien
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Alors.... de découvertes qui ne servent à rien (je n'ai jamas tord!)
Les chansons ne servent à rien
C'est que des mots et du vent
Elles ne vont jamais très loin
Ni ne durent jamais longtemps...
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Cassandre a écrit:
Alors.... de découvertes qui ne servent à rien (je n'ai jamas tord!)
Les chansons ne servent à rien
C'est que des mots et du vent
Elles ne vont jamais très loin
Ni ne durent jamais longtemps...
par ici
LIND - Modernité
Depuis toujours la vie des hommes n'est pas facile
Comme tous les êtres vivants faut qu'on bouffe pour survivre
Mais je sais pas trop exactement quand ni pourquoi
Il a fallu qu'on complique encore tout ça
Maintenant on trime comme des cons pour un patron
(on trime comme des cons)
Avant de rentrer tête, cœur et poches vides à la maison
(et on rentre à la maison)
Eh! Réveillons-nous ! Ya quelque chose qui va pas !
Personne n'est heureux de vivre à ce train-lÃ
Faut qu'on se bouge le cul pour renverser tout ça
On ira pas encore très loin sur cette voie
Merci la modernité et le système capitaliste
Tous résignés dans ce schème esclavagiste
Par la promesse d'un bonheur monétaire
L'Homme moderne délaisse les valeurs premières
Tant de superficiel me file la nausée
L'essentiel vacille et sera bientôt oublié
On est gavés toute la journée de fausses vérités
La publicité et la télé imposent leur réalité
Pour nous faire rêver (pendant qu'on se fait chier)
A ceux à qui on devrait ressembler (à bosser pour gagner)
A la célébrité la fortune et la beauté (de quoi pouvoir consommer)
Penser aux vacances bien méritées (et se prendre quelques éclatées)
Dont on pourra même pas pleinement profiter (pour oublier tout le temps)
Tellement on sera épuisés (passé à augmenter le chiffre d'affaire de l'année)
Eh ! Ouvrez les yeux les gars ne me dites pas
Que vous souhaitez pour vos gosses une vie comme celle-là !
Faut pas se résigner et faire des signes de croix
Mais plutôt lever le poing et unir nos voix
Au feu la modernité et le système capitaliste !!
Au feu actions et bénéfices esclavagistes !!
Au feu religions, télévisions, consommation, patrons !
(Au feu la modernité capitaliste)
Fini d'être des pions entre les doigts du marché !
(Au feu les financiers)
Un jour ce monde sera plus dirigé par les financiers !
Vous me direz plus facile à dire qu'à faire
Qu'on change pas le monde en chantant des chansons
Qu'accuser c'est gratuit si on propose pas de solutions
Moi j'crois que la première et plus dure chose à faire (le plus difficile c'est)
C'est arriver à se remettre en question (se remettre en question, c'est le rôle)
Et que ça c'est justement le rôle des chansons sans solutions !
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je le repete, cette rubrique ne sert strictement a rien
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Lorenzo a écrit:
je le repete, cette rubrique ne sert strictement a rien
Oui, mais non, quand même, je sais ce que je dis!^^
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Bah oui, d'ailleurs, quand je ne sais pas quoi faire ou quoi penser, je viens ici et je suis rassurée... car il ne se passe rien et mine de rien, c'est rassurant.
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C'est quand même vachement bien, google.
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Il est fort ce Google ! Quand je lui demande : "est-ce qui me reste des yahourts dans le frigo ?" il me répond des trucs sur les régimes. Pff, qu'il peut être désobligeant parfois...
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