Yeah yeah

Le mercredi, c’est sortie ciné (ce qui est bien pratique en ces temps de dinette disette)

Et donc, c’est aujourd’hui que sort Oliver Twist, un film de Roman Paul, adapté d’un livre de Charles Dickens lui-même tiré d’une oeuvre du grand Walt Disney, Oliver et Compagnie.

L´histoire est celle d’un orphelin qui a perdu ses parents, dans l’Angleterre victorienne. (Il ne les a pas perdus dans l’Angleterre victorienne, donc)(enfin techniquement si, mais pas comme on perd ses parents au rayon surgelés) Pour ceux qui ne connaissent pas trop l’histoire, l’Angleterre victorienne c’est une époque, vers le XIXe siècle, où tous les Anglais devaient s’appeler Victor, sinon on tuait leurs parents à coup de poisson surgelé.

On le met dans un orphelinat. Mais à l’époque, on ne rigolait pas avec les orphelins. Ils sont obligés d’apprendre des chansons insipides et des chorégraphies terribles et, si ils ont pas des univers, ils sont nominés pour le fouettage.

Oliver, il aime bien la danse. Mais ses conceptions sont un peu différentes de celles de Victor Kamel Ouali, son professeur de chorégraphies moisies. Alors il s’enfuit de l’orphelinat et part à la Nouvelle Orléans, où il va inventer un nouveau style de musique et ca s’appellera le jerk.


Oliver, tu es nominé cette semaine, à cause que tes univers ne nous parlent pas très, mais c’est rien de personnel.


Bon alors les gars, pour la choré cette semaine, il faut bouger les mains et les pieds en même temps, c’est super dur.


Bon ok, je m’ai trompé dans les paroles des lacs du Connemara, mais je peux avoir un peu de soupe quand même?


Bon allez, moi je file à Saint-Tropez

Comme il est de coutume, je précise que j’ai pécho les images sur allocine et qu’elles sont copyrightées Pathé distribution, ce qui est rigolo, mais pas désopilant.

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