i wätt i hätt äs happy bett

Cette note est à usage strictement personnel, c’est juste pour voir ce dont quoi auquel je suis capable après une nuit presque blanche.

Genre pour montrer à mes arrières-petits-enfants ce qu’ils risquent quand ils refuseront d’aller dormir paske ils voudront voir le film de cul du dimanche soir sur m6.

Cela dit maintenant que t’es là tu peux continuer à lire, j’suis pas comme ça, mais faut pas t’attendre à des effets stylatoires à tomber d’ta chaise et à de désopilantes trucs-machins-chouettes-bidules-tralala (j’ai tendance à paumer mes mots quand que je suis fatigué) (et à les confondre, aussi, mais pas les mêmes, vu que j’peux pas confondre des mots que je retrouve pas)

Cela dit, si j’veux pouvoir me rendre compte plus tard de l’état pathétique dans lequel je m’trouve en ce moment, paske en ce moment j’suis pas sur de réaliser total à fond, faut que j’écrive quequ’chose. Mais mes idées sont coincées quelque part avec mes mots. D’ailleurs, si quelqu’un les aperçoit, il est prié de me les envoyer aussi sec illico sur le champ, là tout d’suite et que ça saute, j’en ai besoin moi. C’est vrai, c’est vachement pratique des idées et des mots pour aller faire ses commis à la migros.

Et si j’ai pas pioncé, c’est pas pour ce que tu crois, toi, là, au fond à gauche. C’est pour des raisons vachement moins avouables que ça, mais mais bon ça m’a rapporté des sous.

Et sinon j’voulais aussi dire que… ah non même pas.

Moralité: dormir c’est vachement meilleur pour la santé que pas.

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One Response to “i wätt i hätt äs happy bett”

  1. Tennessee says:

    Il est indéniable qu’une nuit blanche n’est pas l’idéal pour composer sur internet.
    Volant à ton secours, voici quelques mots, quelques cris en thèmes :
    l’argent, l’amour, le temps, passe temps, passe partout, passe moi le cric, mes godasses, mon tee shirt troué, tes yeux rouges de fatigues, ton lit…